Ces temps de confinement sont durs et pour de nombreux catholiques dans l’absence d’accès physique à la messe en communauté. Pourtant, le prêtre et théologien tchèque Thomas Halik nous propose dans les colonnes de La Vie de considérer la situation autrement :
Nous devrions accepter l’actuel sevrage des services religieux et du fonctionnement de l’Église comme un kairos, une opportunité pour nous arrêter et nous engager dans une réflexion approfondie devant Dieu et avec Dieu.
L’occasion de regarder quelles pouvaient être certaines faiblesse latentes de nos églises mais aussi de considérer tout ce à quoi elles sont appelées dans un monde qui ne sera plus tout à fait comme avant … Des perspectives qu’on ouvre souvent peu en ce moment, à retrouver ICI
Il ne s’agit pas de refaire l’histoire mais des dominicains ont participé au tournage du film Jeanne sorti le 11 septembre dernier, dans une volonté de réalisme du réalisateur ! Retour sur cette aventure surprenante par ici >>
« Sur Minecraft, ladestructionde villages ou de bâtiments construits par les joueurs, bien qu’inoffensive au demeurant, est en effet devenu un exercice de style. « Évoquer la toxicité dans les jeux vidéo revient souvent à se concentrer sur les propos agressifs et le manque de fair-play. La plupart du temps, il s’agit pourtant d’apprendre aux joueurs qu’il y a un temps et un lieu pour tout… Et que l’on peut profiter d’un jeu sans nuire aux autres », complète-t-il. » C’est pourquoi Robert R. Ballecer, jésuite, va créer un serveur « made un Vatican » pour jouer à ce jeu dans un environnement paisible ! Plus d’infos >>
À Paris et « pour la première fois en France, un parquet et un diocèse inscrivent leurs relations dans un cadre institutionnel qui permettra de renforcer la lutte contre les abus sexuels dans le respect des droits de chacun et de la présomption d’innocence. » En vue de davantage de clarté et de rapidité pour les infractions de nature sexuelle >>
Le pèlerinage national commence à Lourdes aujourd’hui ! À suivre pour être en communion !
Le thème du jour : »Heureux vous les pauvres ! »
Le temps fort du jour : à 10h, la cérémonie d’ouverture du #PéléNational (à suivre en direct sur notre page Facebook : https://t.co/2zSmuGfh9H)
Suivez la première journée du #PéléNational sur Twitter, Facebook et Instagram ! pic.twitter.com/PsDvrIFX0K
Un petit clin d’oeil en ce dimanche de vacances qui voit certains citadins découvrir les réalités de l’Eglise en ruralité… grâce à la série Sacristie !
C’est déjà le cas depuis hier à la tête de la Conférence des évêques de France : voici leurs bobines afin de prier pour eux !
À compter d'aujourd'hui, ils sont les visages du Conseil permanent de la Conférence des évêques de France, qui assure la continuité pastorale et la coordination des commissions épiscopales. 🙏Prions pour la fécondité de leur mandat En détails►https://t.co/i4MwqZ5meEpic.twitter.com/q4i4SmFYmK
Hier jeudi 27 juin, l’état de travail de la réforme de la Curie romaine a été présenté de manière assez inédite.
Cette réforme prend le temps « d’un intense travail de consultation et d’écoute réciproque » affirme Mgr Semeraro. On en saura davantage en lisant l’article de La Croix et en attendant la fin du travail prévue pour la fin de l’année.
En ce 5° dimanche après Pâques C, Jésus nous donne son commandement nouveau (Jean13, 31-33a.34-35).
Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés.
Voici quelques questions pour l’Évangile de ce dimanche :
– Quelles paroles est-ce que je ne dis qu’en l’absence de certaines personnes? Pourquoi?
– A quelle(s) occasion(s) Dieu est-il glorifié par ce que je fais pour Lui? par ce qu’il fait à travers moi?Lire la suite
Cela se passe en Belgique où l’on accueille les faucons (ben oui, vous pensiez quoi ?) dans une église où les oeufs de Pâques n’auront jamais été si vrais !
« Cela fait déjà plusieurs années que les faucons pélérins sont de retour à l’église Saint-Julien où un dispostif a été aménagé pour leur permettre de se nourrir et de se reproduire. La famille des rapaces ayant élu domicile dans la cité des Géants vient encore de s’agrandir avec la naissance ces derniers jours de quatre ravissants fauconneaux. Ces derniers ont poussé leurs premiers cris entre le 8 et le 12 mai après 32 jours de couvaison. » Une belle histoire à lire >>
En ce 3° dimanche après Pâques C, nous avons quitté Jérusalem et sommes au bord du lac de Tibériade où Jésus se manifeste à nouveau aux disciples (Jean21, 1-19).
Voici quelques questions pour l’Evangile de ce dimanche :
– Dans quel état d’esprit est-ce que j’accueille un nouveau jour?
– Quand m’est-il arrivé de passer d’une situation de pénurie et de manque à celle d’une surabondance et d’un excès?
– Quand m’arrive-t-il de me jeter à l’eau pour aller rejoindre le Christ? ou quelqu’un qui m’est cher? Lire la suite
Dans le contexte dramatique de l’Eglise où les condamnations en justice succèdent aux nouveaux scandales, la Présidente des Scouts et Guides de France, Marie Mullet-Abrassart, publie une tribune lucide mais aussi pleine d’espérance. Prenant longuement acte de la refondation en profondeur que l’Eglise ne peut plus éviter, elle en appelle à l’action de chacun pour y contribuer. Et il existe aussi une part lumineuse en notre sein, qui peut nous permettre d’aller de l’avant.
« Ce week-end, à Jambville, une centaine de personnes, aumôniers, animateurs spirituels, chefs et cheftaines, jeunes engagés dans l’Eglise se retrouveront à Jambville pour parler Foi, engagement, spiritualité chez les SGDF au service des plus jeunes. Cette Eglise-là existe aussi, de pars le monde, avec des acteurs religieux ou non, engagés, heureux, sans tragédies, sans noirceur, qui veulent faire vivre sa part de lumière. Ils existent aussi ces hommes et ces femmes d’Eglise prêt à combattre ce qui aujourd’hui la ronge. »
Et de conclure : « Notre Eglise n’est pas foutue parce que l’Eglise c’est nous ! ». Alors soyons lumineux !
Une magnifique découverte dans une église de l’Oise :
Au début du mois d’octobre, Pierre Houcke, un membre actif de la paroisse de Chepoix, constate l’affaissement de l’autel de l’église. « Avec des amis, nous avons enlevé les statues de l’autel afin de réduire le poids, puis nous avons découvert un tas de gravats en ouvrant une planche », explique-t-il. Les semaines passent et, un jour, à son réveil, le croyant entend une voix. « C’est maintenant », lui dit-elle. « J’ai su que je devais me rendre à l’église », se souvient Pierre Houcke. Équipé de pelles, il creuse sous l’autel jusqu’à tomber sur un morceau de pierre. Il reconnaît alors le visage de la Vierge Marie.
C’est le constat de notre ami Koz dans sa chronique hebdomadaire : « Nous avions un genou à terre. De nouvelles révélations nous ont fait fléchir le second, de force. Pour tout dire, ce n’est pas une attitude incongrue pour un chrétien. Si, d’aventure, nous lavons les pieds des autres, c’est à genoux. Si nous prions, c’est à genoux. »
Mais cette posture de prière ne nous enseigne-t-elle par le chemin de notre conversion à tous ? Une chronique à découvrir dans La Vie
En cette fête de la Conversion de St Paul, Jésus envoie les apôtres avant son ascension (Marc16, 15-18).
Voici quelques questions pour l’Evangile de cette fête :
– Vers qui Jésus m’envoie-t-il plus particulièrement témoigner de ma foi?
– De quel(s) signe(s) étonnant(s) ai-je été témoin?
Alors que les jeunes des JMJ et ceux qui les accompagnent prennent la direction de Panama et que le Pape François va les rejoindre dans les prochains jours, nous pouvons prier pour eux :
Qu’est-ce qui émerge dans votre groupe comme point fort ? L’importance de la communauté. Le désir d’une Église plus familiale et de familles plus ecclésiales. La nécessité de faire confiance aux jeunes, mais pas de façon démagogique.
Mgr Emmanuel Gobilliard poursuit ses interviews en direct du synode sur les jeunes, la foi et le discernement vocationnel et voici quelques mots emplis de sagesse du prieur de Taizé, frère Aloïs :
La crise actuelle peut-elle paradoxalement faire du bien à l’Église ?
Quelque chose est en train de bouger. De tout mal sort un bien. Dans la façon dont l’Église a évolué vers le pouvoir au fil des années, un danger s’est fait jour : le cléricalisme et le désir de pouvoir. C’est ce que dit le pape. Il fut un temps où des princes de l’Église se faisaient baiser l’anneau… Toute cette hiérarchie est en train d’être cassée. Quelque chose nous ramène à l’humilité, à l’écoute, au sens profond : la phrase « Aimez-vous les uns les autres » signifie « Rencontrez-vous les uns les autres », sans forcément attendre que les clercs nous disent ce qu’il faut faire.
Il n’est plus aujourd’hui le temps de la repentance, plus seulement le temps indispensable de la prière. Le pape François a envoyé un courrier inédit à l’ensemble des catholiques du monde, un appel à l’aide dont on peine encore à percevoir l’envergure, comme n’avait pas été comprise à sa juste valeur sa charge contre les « quinze maladies de la Curie » il y a quatre ans. Nous souhaitons prendre toute notre place dans cette conversion […]. Si nous ne nous engageons pas « dans la transformation ecclésiale et sociale dont nous avons tant besoin », alors tous les efforts pour lutter contre la pédocriminalité seront vains. Nous n’éradiquerons pas le Mal, mais nous pouvons changer la culture qui le favorise.
Bien loin d’opposer clercs et laïcs, le cléricalisme menace chaque catholique. « La masse des catholiques que nous voyons à la messe chaque dimanche ne désire, au fond, savoir de la religion que ce qui peut les confirmer dans la bonne opinion qu’ils ont d’eux-mêmes », écrivait Bernanos. Sommes-nous cette « masse » ou suivons-nous le Christ ? « J’avais faim et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger et vous m’avez accueilli ; j’étais nu et vous m’avez habillé ; j’étais malade et vous m’avez visité ; j’étais en prison et vous êtes venus jusqu’à moi. » Chacun peut discerner sur cette question ; mais collectivement, nous voulons changer l’Église pour rendre plus visible sa beauté. Nous voulons rentrer en résistance contre le repli identitaire, contre toute forme d’arrogance. Nous savons l’immense trésor de la foi reçue de l’Église, que nous voulons passer après nous avec le témoignage de ces chrétiens nombreux et anonymes qui donnent une part de leur vie.
A l’occasion ce mercredi 3 octobre de l’ouverture du synode des jeunes, des mots d’une grande justesse de la part de la présidente des Scouts et Guides de France :
(Maria mit Jesuskind und Rosenkranz – Graduale von Grosz-St.-Martin, Dombibliothek Köln)
Le pape François a appelé hier, fête des archanges Sts Michel, Gabriel et Raphaël, les catholiques à prier le chapelet tous les jours durant le mois d’octobre pour l’Eglise ! « Durant ce mois d’octobre, la Saint-Père demande à tous les fidèles un plus grand effort dans la prière personnelle et communautaire. Il nous invite à prier le Rosaire chaque jour, pour que la Vierge Marie aide l’Église en ces temps de crise, et à prier l’Archange Saint Michel afin qu’il la défende des attaques du démon. Selon la tradition spirituelle, Michel est le chef des armées célestes et le protecteur de l’Église (Ap 12, 7-9)
Le Pape François nous invite à conclure le Rosaire avec une des plus anciennes invocations à la Sainte Mère de Dieu, «Sub Tuum Praesidium», et avec la prière traditionnelle à Saint Michel, écrite par Léon XIII : «Sous l’abri de ta miséricorde, Sous l’abri de ta miséricorde, nous nous réfugions, Sainte Mère de Dieu. Ne méprise pas nos prières quand nous sommes dans l’épreuve, mais de tous les dangers délivre-nous toujours, Vierge glorieuse et bénie. Amen Prière à l’Archange Saint Michel Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous vous en supplions ; et vous, Prince de la Milice Céleste, par le pouvoir divin qui vous a été confié, précipitez au fond des enfers Satan et les autres esprits mauvais qui parcourent le monde pour la perte des âmes. AMEN.» »
La quatrième édition du Congrès Mission début vendredi 28 septembre à Paris. Pendant trois jours, des catholiques vont échanger, prier et se former.
« C’est comme si les catholiques en France et en Occident étaient pris par une vague de refroidissement. Nous, on a l’impression de sortir en maillot de bain. Mais notre intuition fondamentale est que l’Eglise a été fondée par Jésus Christ pour connaître son nom, et que c’est ça qui la fait vivre, et qui lui donne la santé. Toute la déprime dont nous parlons, c’est que ce corps qui est l’Eglise il lui arrive de faire autre chose que d’annoncer Jésus Christ«
Un drame de la vie, un drame pour l’Église. Jean Baptiste, jeune prêtre de 38 ans, s’est donné la mort.
Qu’un homme se supprime, c’est toujours un drame effroyable.
Mais quand cet homme est prêtre, tout le monde chancelle. Un peu comme si l’on touchait à un mur porteur.
La mort dramatique de ce frère vient nous rappeler, au cas où nous l’aurions oublié, qu’un prêtre n’est épargné d’aucun des combats qui traversent la vie de tout homme.
Sidéré par ce mail sur mon écran d’ordinateur, je prie pour sa famille, ses proches, ses paroissiens… C’est en pensant à leur douleur que ce soir, je ressens le besoin de dire et d’écrire pourquoi je suis prêtre.
La nouvelle est tombée hier soir : les 19 martyrs assassinés en Algérie dans les années 1990 seront béatifiés le 8 décembre 2018, au sanctuaire Notre-Dame de Santa Cruz à Oran.
Le Pape François, après avoir consulté le Conseil des cardinaux, a décidé de convoquer une réunion avec des présidents des conférences épiscopales de l’Église catholique sur le thème de la protection des mineurs. La réunion avec le Pape se tiendra du 21 au 24 février 2019.
La crise que traverse l’Eglise catholique aujourd’hui, le profond désarroi dans lequel sont plongés beaucoup de fidèles et de clercs sont une invitation à travailler à la juste place de chacun. A la suite de l’appel du Pape maintes fois exprimé, nous invitons à travailler cette question de l’autorité partout où elle se pose dans l’Eglise. C’est ensemble – dans un souci de communion véritable – qu’il nous faut veiller à ce que tous exercent pleinement leur responsabilité.
Dans ces épreuves qui nous atteignent, nous évêques, avec force et humilité nous en appelons à la foi des uns et des autres. C’est le Christ qui est notre Roc. Il nous a promis qu’il ne nous ferait jamais défaut. Nous vous lançons cet appel : « Soyez toujours prêts à rendre compte de l’espérance qui est en vous ».
Différents textes des évêques de France à retrouver sur cette page.
L’Évangile n’idéalise pas l’histoire du Salut. Et quand éclate, comme à bien des heures sombres de l’histoire de l’Église, tel ou tel scandale, telle ou telle injustice ou autre crise douloureuse, même si nous en avons beaucoup de peine, nous n’avons pas à en être surpris. Pas plus que la généalogie de Jésus ni que le groupe de Douze Apôtres, l’Église n’a jamais été une communauté idéale et sa sainteté ne se confond jamais avec l’improbable impeccabilité de ses membres. Venir à l’Église pour y trouver autre chose que le Christ sauveur, comme l’avait écrit Georges Bernanos, c’est s’assurer d’être déçu, mais celui qui attend de l’Église qu’elle le mène au Christ ne sera pas déçu. « Ce n’est pas la parole de l’Église qui nous fait accepter Jésus, mais c’est la parole de Jésus qui nous fait accepter l’Église » écrit le père Raniero Cantalamessa.
Vous avez été à la tête de l’Œuvre des Vocations et directeur, puis supérieur du Séminaire de Paris. Avez-vous noté une évolution dans la formation des séminaristes ?
Oui, notamment dans l’exigence de la fraternité et la collaboration avec les laïcs. À travers la vie en maisons situées en paroisse, les séminaristes sont amenés, aujourd’hui, à admirer ce que font les laïcs. Et donc à mieux comprendre leur ministère de prêtre, à savoir : servir la communauté qui leur est confiée. Les laïcs ne sont pas les exécutifs du prêtre. Ils doivent discerner, avec les prêtres, sur la vie et l’avenir de la communauté ecclésiale. C’est tout l’objet du travail mené avec le cardinal André Vingt-Trois autour des conseils pastoraux. Je pense qu’une partie du cléricalisme, critiqué aujourd’hui par le pape, vient de la tentation identitaire de notre époque. Dans l’Église, on peut parfois être tenté de se donner sa place dans la communauté au lieu de la recevoir.
« Nous devons soigner les blessures. Ensuite nous pourrons aborder le reste. Soigner les blessures […] Il faut commencer par le bas » (Pape François, 2013). Ça ne devrait pas être si difficile car, en bas, nous y sommes jetés. Quand la parole est ainsi discréditée, reste l’humble témoignage.
« A Paris, à vélo, on dépasse les autos … » peut-être mais il est d’autres endroits de France où d’auto on n’en n’a point, notamment pour aller à la messe. C’est sur la base de ce constat qu’une équipe de chrétiens engagés ont lancé l’application GoMesse. C’est une plateforme d’échanges qui facilite le co-voiturage entre paroissiens, de manière gratuite simple et accessible à tous.
Vous souhaitez co-voiturer ou être co-voituré ? Vous souhaitez soutenir le projet en faisant un don (ils en ont besoin …) ? Vous souhaitez en savoir plus ? Allez sur leur site www.gomesse.fr et parlons-en autour de nous ! Go go GoMesse !
Alors, en ce 8 août, nous fêtons une belle fête à tous les fils et filles de saint Dominique. Pour cette occasion, les Dominicains de Bordeaux proposent une belle visite de leur église à 360° sur Facebook… Pas mal, non ? A donner envie de louer, de bénir et de prêcher !
Pour aller plus loin, un extrait des actes de sa canonisation : « En toute circonstance, par des paroles et sa conduite, (Dominique) se montrait un homme évangélique. Pendant la journée, avec ses frères ou ses compagnons, personne n’était plus simple et plus joyeux. Pendant la nuit, personne n’était plus adonné à toutes sortes de veilles et de prières. Il ne parlait guère qu’avec Dieu, dans l’oraison, ou de Dieu, et il exhortait ses frères à en faire autant. »
Tu es toujours un peu perdu en visitant une église ? Ça tombe bien, Bayard a pensé à toi avec ce tout nouveau 10 clés pour cheminer en ce lieu, petit guide permettant de distinguer l’essentiel et te permettant d’être mieux tourné vers l’Essentiel par des propositions de cheminement, toutes résolument incarnées. Alors, heureux ?