
Voyages, visites, rencontres, réforme de la curie, … le programme du Pape François est déjà bien chargé pour 2017 ! Et il nous réserve bien des surprises…
Un premier coup d’oeil sur l’agenda du Pape proposé par La Croix ici.
Voyages, visites, rencontres, réforme de la curie, … le programme du Pape François est déjà bien chargé pour 2017 ! Et il nous réserve bien des surprises…
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Le nouveau dicastère pour le Développement humain intégral est entrée officiellement en fonction au 1er janvier. Radio Vatican rappelle à cette occasion qu’il « regroupe les compétences de quatre conseils pontificaux : la Pastorale des Migrants, la pastorale de la santé, Justice et Paix, et Cor Unum, sous la direction d’un préfet, le cardinal ghanéen Peter Turkson. »
Ce dicastère exprime «la sollicitude du Souverain Pontifie envers l’humanité souffrante». Sa mission est de rassembler et évaluer des documents concernant la justice, la paix, le progrès des peuples, la défense de la dignité, des droits humains, ceux touchant en particulier au travail, dont celui des mineurs. Il s’intéressera aux questions liés à l’esclavage, aux migrations, à l’armement, aux formes de torture, à la peine de mort et bien sûr aux changements climatiques. Une section est spécifiquement consacrée aux phénomènes migratoires et c’est le Pape en personne qui la dirige.
A écouter aussi sur Radio Vatican : l’entretien avec Flaminia Giovanelli, sous-secrétaire déléguée du nouveau Dicastère. Elle détaille la nouvelle organisation et les synergies qui vont pouvoir être créées entre les équipes issues des 4 anciens Conseils Pontificaux.
Dans ce livre, le Père Claudio Acquaviva, sj (1543-1615) dresse « une liste des maladies de l’âme que l’on peut observer, notamment, chez les membres d’une communauté. On trouve par exemple : Sécheresse et distraction dans la prière ; Défaut d’obéissance ; Railleries et paroles oiseuses ; ou encore : Aversion pour les frères. Pour chacun de ces travers de la vie spirituelle, le P. Acquaviva décrit les symptômes et propose une ligne de conduite à suivre pour les corriger ».
« Guzmán Carriquiry a bien conscience des résistances de certains et de l’anxiété provoquée par les changements. ‘Quelquefois, ils disent que le pape est dur, admet-il, mais c’est bon d’être interpellé sur son style, le contenu ou le but de son service ; cela aide à être vraiment un serviteur inutile' ».