J’aurais pourtant, moi aussi, des raisons de placer ma confiance dans la chair. (…) Mais tous ces avantages que j’avais, je les ai considérés, à cause du Christ, comme une perte. Oui, je considère tout cela comme une perte à cause de ce bien qui dépasse tout : la connaissance du Christ Jésus, mon Seigneur.
Philippe de Saint-Germain s’est laissé surprendre par l’épître de Saint Paul du 3 novembre dernier et il livre pour les Cahiers Libres une réflexion intéressante sur la chair, l’identité, pour penser notamment que » l’identité, la perfection morale et le service du bien commun ne prennent leur sens que dans leur abandon dans le Christ, « à cause du Christ » »