« ‘Depuis dix ans, nous avons remarqué que nous allons de moins en moins vers les gens qui avaient une addiction prononcée à l’alcool’, estime François Le Forestier, de l’association consacrées aux personnes de la rue Aux captifs la libération.
En cause, la politique de sevrage des alcooliques : il était posé comme un préalable à toute discussion ».