« C’est en témoin de la puissance de l’Évangile que le Pape François considère les vies déchirées, les amours détruits, les relèvements, parfois bien claudicants, d’hommes et de femmes qui n’ont pas su ou pu garder la fidélité promise. Dès lors, le grand souffle de vie de l’Évangile renverse les tables de ceux qui sont occupés à faire des poids et des mesures, à objecter un règlement aux pécheurs qui se présentent, comme à un poste de douane ».